Associé-e

Frances Lankin

Expertise: Service et leadership dans la communauté

L'Hon. Frances Lankin est présidente du Conseil de la presse de l'Ontario et directrice du conseil de la Société des loteries et des jeux de l'Ontario ainsi que la Literary Review of Canada. Une diplomée du Institute of Corporate Directors/Rotman Directors Education Program, Mlle Lankin siège également sur le conseil du Institute of Corporate Directors. Elle est l'ancienne co-commissaire de la Ontario Commission for the Review of Social Assistance ainsi que l'ancienne présidente et PDG d'Entraide Toronto.

De 1990 à 2001, elle était la députée provinciale de Beaches-East York ainsi que ministre des services gouvernementales, présidente du conseil de gestion, ministre de la santé, et ministre du développement économique et de la commerce. Mlle Lankin détient une longue histoire de service sur des conseils, incluant plus récemment comme membre du conseil de Metrolinx, le Comité de surveillance des activités de renseignement de sécurité, le conseil de la Ontario Hospital Association, et comme présidente du TELUS Toronto Community Board.

En 2012, elle était nommée membre de l'Ordre du Canada et mentor de la Fondation Trudeau. Mlle Lankin a reçu plusieurs prix en reconnaissance de ses travaux et sa service à la communauté, incluant des doctorats en droit honoraires des universités Queens et Ryerson ainsi que les Médailles du jubilé d'or et de diamant de la Reine Elizabeth.

Les postes et activités de Frances Lankin


  • Les syndicats : Plus importants que l’on croit!

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    « Des communautés syndiquées – des communautés en santé » décrit la relation directe entre un taux sain de syndicalisation et un plus faible taux d’inégalité. Il s’agit d’un facteur essentiel dont nous devons discuter à la lumière des attaques actuelles contre les syndicats au Canada. Alors que plusieurs provinces ont commencé à se pencher sur les questions de la réduction de la pauvreté, des prestations pour les enfants et des réformes des systèmes de bien-être social, les progrès réalisés seront vites réduits à néant si les mesures de « droit au travail » gagnent du terrain. Les syndicats sont non seulement un moteur essentiel de réduction de l’inégalité des revenus, mais ils contribuent également à contrer la tendance grandissante à l’emploi précaire (emplois contractuels, à temps partiel, sans avantages sociaux…). C’est cette tendance qui multiplie actuellement le nombre de Canadiens qui font partie de la classe sociale des ouvriers mal rémunérés.

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